Pour leur premier jour d’un stage consacré aux « écritures numériques », une vingtaine de professeurs de lettres de l’académie de Versailles ont visité l’exposition lors d’une visite guidée le 20 novembre 2013, et découvert toutes les facettes des oeuvres de littérature numérique.
L’exposition qualifiée de « passionnante et novatrice » était présentée et commentée par Nolwenn Tréhondart, doctorante-chercheuse à Paris8. « Une littérature militante, subversive, manipulatrice qui remet en cause nos habitudes de lecture, notre rapport aux livres » explique Nolwenn Tréhondart. Une littérature qui traduit « une esthétique de la frustration, avec des œuvres qui, par certains procédés techniques, font disparaître des lettres, des mots, lesquels se dérobent à la lecture ». Des œuvres dont le sens est susceptible de changer en permanence. Une véritable esthétique de l’éphémère.